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Après l’échec de la déstabilisation du Kazakhstan : G. Soros cible la Chine

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George Soros, milliardaire américain et père des « révolutions de couleur », dont le rôle a été prouvé lors de la sédition de 2009 en Iran, a appelé à un « changement de régime » en Chine!

G. Soros, pro-sioniste notoire et président du conseil d’administration de l’Open Society Foundations, qui est largement impliqué dans les scénarios en cours en Asie centrale et au Caucase, a appelé à un « changement de régime » en Chine.
Lors d’un discours à Hoover Institution de l’Université de Stanford, le milliardaire a appelé lundi 31 janvier au remplacement du président chinois Xi Jinping, comparant les prochains Jeux olympiques d’hiver de Pékin en 2022 aux Jeux olympiques de 1936 dans l’Allemagne nazie. Mais pourquoi autant de haine à l’endroit de la Chine?
Irrité par l’alliance sino-russe qui a fait échec à son coup d’Etat au Kirghizistan, G. Soros a qualifié la Chine d ‘«État autoritaire le plus puissant du monde» et de «la plus grande menace à laquelle les sociétés ouvertes sont confrontées aujourd’hui».
Selon lui la Chine, « comme l’Allemagne en 1936 », « tentera d’utiliser le spectacle » des prochains Jeux olympiques de Pékin « pour remporter une victoire de propagande pour son système de contrôles stricts ». Il a également qualifié Xi de « véritable partisan du communisme », contrairement à l’ancien dirigeant chinois Deng Xiaoping, qui a introduit des réformes de libre marché et a averti que « Mao Zedong et Vladimir Lénine sont ses idoles ».
G. Soros a conclu son discours par un appel au « changement de régime » en Chine – faisant écho à la ligne actuelle de nombreux conservateurs américains, qui s’opposent également à la direction de Xi.
« Il faut espérer que Xi Jinping sera remplacé par quelqu’un de moins répressif chez lui et de plus pacifique à l’étranger », a-t-il indiqué. «Cela éliminerait la plus grande menace à laquelle les sociétés ouvertes sont confrontées aujourd’hui et elles devraient faire tout ce qui est en leur pouvoir pour encourager la Chine à aller dans la direction souhaitée», a déclaré le milliardaire.
Lors des troubles post-électoraux en Iran, G. Soros avait également essayé de jouer un rôle majeur pour changer le régime en Iran, de manière que certains documents publiés montrent qu’il a tenté d’influencer certains responsables iraniens pour qu’ils partagent ses expériences dans les « révolutions de couleur ».
Récemment, des rapports ont été publiés selon lesquels l’Open Society Foundations a dépensé plusieurs millions de dollars pour lancer une révolution de couleur au Kazakhstan qui a été le théâtre de troubles et d’émeutes. D’autres rapports indiquent que ces coups d’État de couleur ont déjà eu lieu en Ukraine, au Liban, en Géorgie et au Kirghizistan et que les gouvernements arrivés au pouvoir après les protestations populaires ont tous été renversés.
Les enquêtes montrent que G. Soros était derrière tous ces coups d’État, et qu’il est en fait la main secrète de l’Occident dans les révolutions de couleur.
Au fait la colère de Soros est d’autant plus compréhensible que le président Xi Jinping a félicité le président kazakh Tokaïev, pour avoir contré avec l’aide de la Russie une offensive terroriste d’envergure impliquant la quasi-totalité des pays de l’OTAN en plus d’Israël.
Lundi 10 janvier, au cours d’un entretien téléphonique avec son homologue kazakh, le président Xi Jinping a apporté à celui-ci un soutien dénué d’ambiguïté : « Vous avez pris des actions décisives et fortes au moment critique, calmant rapidement la situation, ce qui a montré votre responsabilité et votre engagement en tant qu’homme d’Etat et votre attitude hautement responsable à l’égard du pays et de ses citoyens », a déclaré le numéro un chinois.
Xi Jinping a dénoncé une tentative de révolution colorée, affirmant que son pays « s’oppose fermement à toutes les forces qui minent la stabilité du Kazakhstan».

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