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Pegasus

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Espionnage de responsables espagnols : Un rapport disculpe le Maroc

Espionnage de responsables espagnols : Un rapport disculpe le Maroc

Le Maroc n’exerce aucune ingérence dans les affaires intérieures de l’Espagne, a constaté un rapport, élaboré par le contrespionnage du voisin ibérique. En revanche, le même document dévoile des actions hostiles menées sur le territoire espagnol par la Russie et la Chine.

Le Maroc sous les ailes de Pegasus : Ce que recommande l’APCE

Le Maroc sous les ailes de Pegasus : Ce que recommande l’APCE

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), qui réunit des députés de 46 pays du Vieux continent, a examiné « l’utilisation abusive de logiciels espions », en tête desquels figure Pegasus, produit commercialisé par NSO, société israélienne. Le Maroc est invité à cette occasion à diligenter une enquête indépendante.

Madrid se refuse à mettre à l’index Rabat

Affaire Pegasus : Madrid se refuse à mettre à l’index Rabat

Le gouvernement espagnol a rejeté toute « spéculation » sur le rôle du Maroc ou d’autres pays dans l’espionnage de membres du gouvernement espagnol par le biais du logiciel Pegasus, après que les députés européens ayant enquêté sur la question ont considéré cette possibilité comme « plausible ».

Les soupçons pèsent toujours sur le Maroc

Pegasus sous la loupe du parlement européen : Les soupçons pèsent toujours sur le Maroc

Après deux jours de réunions avec des responsables espagnols, les 20 et 21 mars, les membres de la commission d’enquête du Parlement européen sur l’utilisation du logiciel espion Pegasus, n’ont pu fournir de preuves sur la culpabilité des renseignements marocains dans l’espionnage des téléphones de Pedro Sanchez, chef du gouvernement, et des ministres espagnols de la Défense, de l’Intérieur et de l’Agriculture.

« Affaire Pegasus » en France

« Affaire Pegasus » en France : Me O Baratelli disculpe le Maroc

Dix-neuf mois après que le Maroc, victime d’une « gigantesque entreprise de déstabilisation internationale », a porté plainte contre certains médias français et des ONG, qui l’accusaient d’avoir utilisé le logiciel espion Pegasus, « aucune preuve n’a été apportée à ce jour », a affirmé, vendredi à Paris, Me Olivier Baratelli, avocat du Maroc en France.

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