Sur l’échiquier mondial, la zone l’Indopacifique alimente les convoitises Antony Blinken, chef de la diplomatie américaine, et Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense, cherchent à y renforcer des alliances pour contrer l’influence de la Chine. Cela intervient au moment où le locataire de l’Elysée, en tournée dans la zone, a condamné ce qu’il a appelé « nouveaux impérialismes ».
Narendra Modi, Premier ministre indien, débute mardi une visite aux Etats-Unis au cours de laquelle il doit rencontrer le président américain pour un « dialogue de haut niveau » destiné à resserrer leurs liens, au moment où Washington rivalise d’influence avec Pékin en Asie-Pacifique.
Washington disposera d’« un accès sans entraves » aux bases militaires de Papouasie-Nouvelle-Guinée et aura « l’usage exclusif » de certaines zones du pays, selon le pacte de sécurité historique signé fin mai dans cet État du Pacifique où les États-Unis cherchent à contrer l’influence de Pékin.
Le Président américain a entamé une visite en Asie qui le conduit dans deux pays relevant du projet AUCUS qui vise l’endiguement de la Chine. De Séoul à Tokyo, Joe Biden rappellera les impératifs stratégiques de Washington et ce que les Américains attendent de leurs alliés dans la région.
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