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Maghreb

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Incendies mortels en Algérie : La faute aux pyromanes, assure l’Intérieur

Les incendies qui font rage en Algérie ont coûté la vie à plus d’une quarantaine de personnes dont 25 de militaires, a annoncé le ministère de la Défense. Selon le ministre de l’Intérieur,«seules des mains criminelles peuvent être à l’origine de l’apparition simultanée d’une cinquantaine d’incendies dans plusieurs localités de la province». Quoi qu’il en soit, depuis la Kabylie où le couvert végétal a été particulièrement éprouvé, le FFS appelle à une enquête impartiale.

Sale temps pour Ennahda en Tunisie : La justice mobilisée…

Une enquête a été lancée en Tunisie sur quatre membres du parti islamiste Ennahdha pour des violences devant le Parlement après que le président a congédié le gouvernement et gelé les activités législatives. Des élus islamistes sont aussi poursuivis, ce qui a été dénoncé par la formation d’Ennahda qui joue une double partition. En effet, son leader contesté Rached Ghannouchi s’est déclaré disposé à dialoguer avec le Président pour « restaurer » la démocratie. En cas de panne de dialogue, il menace de faire descendre dans la rue ses partisans.

La Covid-19 a eu raison d’A. L. Belal : Un prétendant à la succession de B. Ghali « out »

Coup dur pour les boute-en-feu du système algérien. Abdellah Lahbib Belal, alias patron des renseignements du Polisario, est mort. Il est décédé, dimanche 1er août à l’hôpital Aïn Naaja d’Alger, à cause de la Covid-19. Gravement malade, cet ancien «ministre de la Défense» qui a disparu des camps de Tindouf, depuis plusieurs mois, était promis par les militaires algériens à la succession de Brahim Ghali, lui aussi fragilisé par l’âge.

Le Président tunisien sur tous les fronts : La justice le suit…

La justice tunisienne a ouvert une enquête contre le parti islamiste Ennahdha, son allié Qalb Tounes et la formation Aïch Tounsi. Objectif, démonter l’affaire de « financements étrangers »des campagnes électorales en 2019. Le collectif de défense de Choukri Belaïd et Mohamed Brahmi, leaders de gauche assassinés dans le sillage de la Révolution du Jasmin, applaudit l’offensive du Président Kais Saïed qui cherche aussi à trouver un arrangement avec ceux qui ont détourné les deniers publics.

La Tunisie à la croisée des chemins : A quoi joue K. Saïed ?

La crise politico-institutionnelle prend une autre dimension en Tunisie. En effet, le président tunisien Kais Saied a mis fin, lundi, aux fonctions du ministre de la Défense, après avoir suspendu les activités du Parlement et limogé le Premier ministre.

Crise politique en Tunisie : K. Saïed gèle le Parlement et congédie H. Mechichi

Pour une bombe politico-institutionnelle qui a éclaté depuis le palais de Carthage, en Tunisie, c’en est bien une. Kaïs Saïed élu Président depuis quelques mois a annoncé, dans la foulée de manifestations populaires dans plusieurs villes tunisiennes, de geler les activités du Parlement et de se séparer de Hichem Mechichi, chef de gouvernement avec lequel les rapports entretenus étaient des plus tendus. L’armée déployée au niveau des divers points névralgiques de la capitale a été applaudie par la foule à Tunis. Cherchant à intégrer le Bardo, le président du parlement et chef de file des islamistes d’Ennahda, Rached Ghannouchi, en a été empêché par l’armée, lui qui, la veille, dénonça un « coup de force anticonstitutionnel ».

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