Les États-Unis ont conclu un accord pour prolonger de 10 ans leur présence militaire sur une base au Qatar, a indiqué mercredi à Reuters une source au fait du dossier. Un intérêt géostratégique qui gomme un autre scandale « Qatargate » en terre américaine.
A son arrivée mercredi à Doha, Frank-Walter Steinmeier, Président allemand, a dû patienter une trentaine de minutes dans l’avion avant d’être reçu.
La conclusion d’un accord sur la libération des otages enlevés par le Hamas lors de son attaque le 7 octobre contre Israël repose désormais sur des questions pratiques «mineures», a affirmé dimanche le premier ministre qatari, sans toutefois fournir de calendrier
Le Qatar a encouragé mardi 14 novembre Israël et le Hamas à saisir l’occasion offerte par sa médiation pour obtenir la libération des otages, tout en soulignant que l’aggravation de la situation à Gaza entravait ses efforts.
Les chefs du Mossad israélien David Barnea et de la CIA américaine Bill Burns étaient à Doha pour rencontrer des responsables qataris afin d’évoquer la libération d’otages israéliens en échange d’une «trêve humanitaire», selon de nouvelles informations rapportées à la fois par l’AFP et Reuters.
The Washington Post a révélé que les Etats-Unis et le Qatar ont convenu de reconsidérer les relations qu’entretient Doha avec le Hamas après la résolution de la crise des prisonniers israéliens détenus dans la bande de Gaza.
Les bonnes volontés arabes pour circonscrire la tension entre Rabat et Alger ne manquent pas. C’est ce que vient de confirmer l’émirat du Qatar dont le chef de l’Etat a reçu, coup sur coup, des messages écrits de la part de ses frères du Maroc et de l’Algérie. Doha qui a vu ses efforts bridés en 2022 croit-il en ses chances de médiateur aujourd’hui ? Rien ne prédispose à la croire au regard de l’attitude anti-marocaine crispée du voisin de l’Est. Reste que la diplomatie peut engendrer des miracles…
Après des années de tensions, les Émirats arabes unis et le Qatar ont rétabli leur « représentation diplomatique ». Les deux pays ont annoncé lundi 19 juin « la reprise des activités de l’ambassade des Émirats arabes unis à Doha, et de l’ambassade du Qatar à Abou Dhabi, ainsi que de son consulat à Dubaï ».
L’émir du Qatar a fait un déplacement jeudi à Bagdad pour une visite de quelques heures aux « dimensions politiques et économiques », assure-t-on. Cette visite intervient au moment où l’Irak, asphyxié, s’ouvre davantage à ses partenaires régionaux pour doper son économie et ses infrastructures défaillantes.
Le Qatar, pays du Golfe à majorité musulmane, a réaffirmé jeudi l’interdiction par la religion de consommer des insectes, après l’ajout début janvier par l’Union européenne à sa liste d’aliments autorisés de nouveaux produits en contenant.
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