L’interpellation s’est faite «dans un café huppé, alors qu’il recevait une enveloppe de 20 000 dirhams des mains d’un entrepreneur», selon les informations rapportées par notre confrère « L’Economiste ».
Cette opération est intervenue sur la base d’un signalement via le numéro vert direct, mis en place à cet effet par le ministère public, dans le cadre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption. En mars dernier, H. Aboukir a succédé à Youssef Laklalech à la tête de la RADEEF. Une succession qui s’avère éphémère au regard du crime commis par le responsable d’un établissement public.