«Je ne peux pas faire de commentaire là-dessus car c’est un processus de consultation. Cela inclut des discussions au Conseil de sécurité des Nations unies et je ne peux exprimer aucune position», a-t-il répondu à une question d’un média roumain.
P. Roman n’a pas souhaité également réagir aux allégations de la presse algérienne qui le taxe d’être «pro-Maroc». «Encore une fois, je ne peux pas m’exprimer car le processus est en cours», a précisé le Roumain, qui a déjà participé à des éditions du Forum Crans Montana, annuellement accueilli à Dakhla.
En se basant sur des « sources officielles », le média en ligne Digi24 affirme que Bucarest n’a pas proposé l’ancien Premier ministre pour succéder à Horst Köhler, avançant plutôt la thèse d’une «initiative personnelle».
La diplomatie marocaine hyperactive sur le dossier saharien depuis que l’administration américaine a reconnu la marocanité du Sahara n’a pas réagi aux « pronostics médiatiques ». La candidature de P. Roman sera-t-elle avalisée par Rabat ?