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Répression en Arabie Saoudite : Alerte aux exécutions programmées des militants

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L’Organisation européenne saoudienne pour les droits de l’Homme a révélé que les autorités saoudiennes avaient condamné à mort 15 prisonniers d’opinion, portant à 53 le nombre de personnes en danger d’exécution, dont au moins 8 mineurs.

En dépit des mises en garde des experts des Nations Unies, les autorités saoudiennes rechignent à libérer immédiatement Abdullah Al-Hwaiti et à abolir la peine de mort prononcée à son encontre sur la base d’accusations portées contre lui alors qu’il était adolescent. Bien plus, l’ONG saoudienne a averti que les autorités saoudiennes allaient commettre un nouveau massacre de masse, selon la télévision libanaise AlMayadeen.

Selon Human Rights Watch, le tribunal pénal de la région nord de Tabouk a condamné, en octobre 2019, Al-Hwaiti, qui avait 14 ans à l’époque.

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salman, alias « MBS », a déclaré, début mars 2022, que son pays avait aboli la peine de mort, sauf pour les cas liés aux meurtres. Mais les listes d’accusation contre les personnes menacées de mort démentent les propos de l’homme fort de Ryad. La plupart d’entre elles n’ont pas été accusées de meurtre.

Dans ce contexte, Hussa al-Madi, militante des droits de l’Homme résidante en Suède, a déclaré dans un tweet que la situation des prisonniers d’opinion en Arabie saoudite est dans son pire état, car ils sont menacés d’exécution, de disparition forcée ou en grève de la faim en raison de la fin de leur peine.

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