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S. De Mistura aujourd’hui à Rabat : Attendons pour voir…

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Contrairement à tout ce qui a été écrit auparavant, c’est bel et bien par le Maroc que Staffan De Mistura, envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, entame sa tournée auprès des parties impliquées dans le dossier. Le messi dominici est attendu ce mercredi à Rabat.

Le Maroc est la première étape de la tournée de S. De Mistura, rapporte l’agence espagnole EFE qui cite des «sources informées de la visite».
«Son agenda dans la capitale marocaine n’a pas encore été rendu public. On ne sait donc pas avec quelles autorités il se réunira et s’il rencontrera le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita» ou non, indique l’agence. «De Mistura ne se rendra pas sur le territoire du Sahara occidental», précise l’agence, ajoutant que l’émissaire de l’ONU «n’a pas demandé à cette occasion de le visiter».
Les sources diplomatiques consultées par EFE n’ont pas confirmé si les étapes algérienne et mauritanienne sont inscrites sur l’agenda de De Mistura. En revanche, elles ont fait état de l’escale des camps de Tindouf, juste après celle du Maroc.
Stephan Dujarric, porte-parole du secrétaire général des Nations unies, a refusé mardi de révéler quoi que ce soit l’agenda de l’envoyé onusien dans la région. «Dès que j’ai quelque chose d’officiel de son bureau, je le partagerai avec vous», a-t-il fait savoir aux médias.
Il y a lieu de signaler que le ministre algérien des Affaires étrangères a eu, lundi 10 janvier, une conversation téléphonique avec Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies. «Nous avons échangé nos points de vue sur les derniers développements en Afrique. Je lui ai exprimé le plein soutien de l’Algérie alors qu’il entame son 2e mandat à la tête de l’ONU», a écrit sur Twitter Ramtane Laamamra.
Cet entretien téléphonique intervient alors que S. de Mistura, doit effectuer cette semaine sa première tournée dans la région.
Pour rappel, Alger avait déjà exprimé son rejet du processus des «tables rondes», initié en 2018 par l’Allemand Horst Köhler tout en appelant à des «négociation directes» entre le Maroc et le Polisario.

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