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Uber précarise le mandat E. Macron : « Cela m’en touche une… » se défend le Président français

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En marge d'un déplacement dans l'Isère, le président français a déclaré mardi « assume(r) à fond » son action contestée auprès d'Uber lorsqu'il était ministre de l'Économie, soulignant avoir agi à l'époque « pour créer des milliers d'emplois ».

« Moi je suis extrêmement fier (…), il est très difficile de créer des emplois sans entreprises ni entrepreneurs », a dit le chef de l’État. « Je le referais demain et après-demain », a-t-il insisté après une visite du site de l’entreprise STMicroelectronics.

Dans ce cadre des « Uber Files »,  une enquête reposant sur des milliers de documents internes à Uber, Le Monde a conclu à l’existence d’un « deal » secret entre Uber et E. Macron quand il était à Bercy.

Les oppositions ont continué mardi d’accuser le chef de l’État d’avoir défendu les intérêts d’Uber à l’époque où l’entreprise développait son implantation en France, alors que lui-même était ministre de l’Économie de François Hollande, entre 2014 et 2016.

« On introduit une espèce d’ambiance qui consisterait à dire que voir des chefs d’entreprise, en particulier étrangers, ce serait mal. Mais je l’assume à fond et en vous regardant ! J’ai vu des chefs d’entreprise, l’horreur ! Je les ai vus, ça a toujours été officiel, avec des collaborateurs. J’en suis fier ! S’ils ont créé des emplois en France, je suis hyper fier de cela », a plaidé E. Macron.

« Comme le dirait un de mes prédécesseurs, cela m’en touche une sans faire bouger l’autre », a insisté le chef de l’État en référence à une phrase attribuée à Jacques Chirac.

 

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