#Libération_Palestine

Logo Perspectives med
Previous slide
Next slide

Une « fake news » nourrit une vague de « hrig » : Rush sur Sebta…

Previous slide
Next slide
Le désir de quitter le pays reste irrépressible aux yeux de nombre de nos compatriotes. Telle est la leçon à tirer du nouvel épisode qui s’est déroulé à la lisière du Préside de Sebta lorsqu’une foule de Marocains ont tenté de braver la « barrière frontalière » avec l’Espagne.

Un groupe de Marocains a tenté de franchir la frontière avec le préside occupé de Sebta dans l’après-midi de mercredi, ce qui a conduit à la mobilisation des unités de la police nationale et de la garde civile, écrit El Faro De Ceuta. Le média local note que le groupe reste moins nombreux que les 300 personnes qui ont tenté, mardi, d’atteindre la ville de manière irrégulière, après la diffusion de fausses informations sur une ouverture des frontières.
Le journal local indique que des sources lui ont confié qu’une centaine de personnes ont pris part à cette deuxième tentative. Il s’agit principalement de «personnes restées dans la région de Castillejos (Fnideq) et n’ayant pas été dispersées par les forces de l’ordre après un travail policier intense au petit matin du côté marocain».
La deuxième tentative, qui a eu lieu après deux heures de l’après-midi, n’était ainsi pas visible du côté espagnol de la frontière. La police marocaine a été déployée pour empêcher la foule de s’approcher de la frontière. Pendant ce temps, des patrouilles de la police nationale et de la Garde civile ont été mobilisées à titre préventif du côté espagnol de la frontière.
A rappeler que la préfecture de police de Tétouan a ouvert, mardi soir, une enquête judiciaire sous la supervision du parquet compétent pour identifier et interpeller toutes les personnes impliquées dans la diffusion de «fake news» incitant à l’immigration irrégulière et prétendant frauduleusement l’allègement des procédures de contrôle frontalier.
Les agents de police sur place sont parvenus à interpeller cinq personnes impliquées dans des actes criminels commis par certains candidats à l’immigration irrégulière, qui ont jeté de pierres envers les forces publiques et refusé d’obtempérer. Les recherches et expertises techniques se poursuivent pour identifier l’ensemble des complices impliqués dans la diffusion de ces contenus et de ces fausses informations, a indiqué la DGSN dans un communiqué.

Recommandé pour vous